Vendredi 9 juin.

Une dernière visite au marché russe est indispensable avant de quitter le pays du sourire.
Une dernière traversée de Phnom Penh en tuk tuk, également.
Nous ne résistons pas à flâner dans les allées étroites du marché où tout se trouve : nourriture, viande, poissons,légumes, fleurs, fruits, vêtements, souvenirs, pierres précieuses et bijoux vrais et faux, tissus, soieries vraies et fausses, quincaillerie, boissons, restauration rapide typique et… antiquités chinoises, notre pole principal d’attraction.
Nous ne pouvons y résister, nous serons encore chargés demain…

Après une sieste bien au frais, et quelques regrets, on y retourne.
Vite vite, encore quelques derniers achats…

Assis dans le jardin de l’Alibi, à la tombée de la nuit, le « takaï » (sorte de gros gecko de 40 cm de long) pousse ses cris successifs. S’il crie 7 fois, c’est de bon augure. Ca y est. Il l’a fait!!! 7 cris d’affilée.
Et à trois reprises.
Avoir un « Takaï » chez soi est un privilège, car cet horrible saurien inoffensif, se gave de moustiques, et peut donc éviter à ses hôtes, la dengue qui sévit hélas dans la région.

Avec la bénédiction bouddhique prononcée par 6 bonzes ce matin.
Nous quitterons demain le Cambodge sous de bons auspices.

Dimitri et sa copine nous emmènent dans un restaurant magnifique, c’est l’ancien One Way remanié, redécoré, revisité où nous avons passé de si bons moments avec toute la bande de bons vieux amis de l’époque.

C’est émouvant, mais ce n’est pas meilleur que quand Dim était derrière les fourneaux! souvenirs souvenirs…

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