Mardi 25 avril

9h, un taxi commandé la veille nous attend pour nous conduire à la gare, bizarrement, nous ne prenons pas du tout la même direction que celle prise à notre arrivés voilà 3 jours. Le taxi roule loin de la ville.
Un enlèvement peut être? Mais non! C’est à la gare TGV que nous allons, et elle est très éloignée. Heureusement que je n’ai pas débattu du prix, que j’avais trouvé plus élevé, car la distance parcourue est d’au moins 15 km…
le train à 45 minutes de retard, il fait gris et frais. Le TGV est d’un grand confort et très propre. Nous roulons plein sud et traversons la campagne dont les cultures maraîchères , fruitières, céréalières sont déjà bien avancées. Le ciel reste couvert mais la température plus clémente. Nous arrivons à Xi’An vers 13h30. La gare TGV que nous ne connaissions pas, est elle aussi très éloignée du centre. Nous retrouvons avec un immense plaisir notre auberge. C’est la troisième fois que l’on y vient, et on s’y sent chez soi, ça fait du bien de temps à autres de retrouver ses marques.
Notre chambre triple est confortable, pas de Kang, mais 3 lits.
Aussitôt déposés les bagages, nous sortons pour faire découvrir à Tam la rue voisine. C’est la rue des pinceaux, des peintres et des calligraphes, certains peignent devant nous des panneaux, des tableaux, des éventails, d’autres gravent des sceaux dans des pierres dures. On ne sait plus où regarder. On voudrait tout acheter, Tâm est fascinée par ce festival d’artisanats divers.
Apres cela, problèmes avec mon téléphone à tout Faire qui est bloqué pour raison de saturation!!! Apparemment je prendrais trop de photos!!!!???
Nous marchons, cherchons la boutique Apple qui ne peut rien pour moi, après un passage souterrain, je me perds, et après des kilomètres, contrite, je demande notre chemin, nous sommes à l’opposé de notre hôtel, j’en pleurerais. Heureusement, un taxi providentiel en maraude nous accepte à son bord, nous arrivons fourbues à l’hôtel où Francois commençait à s’inquiéter. Un petit repas et au lit, demain une grande journée nous attend.

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